Baignade nocturne { le plus beau, le plus génial, celui qui chante bien, le garçon parfait : Yoru et surtout le très humble =="}

Que faire lorsque la lune pousse le soleil hors de son ciel et le retapisse en nuit étoilé ? A vrai dire, écouter le bruit de la mer, sentir le vent faire voler ses long cheveux et oublier tout ce qu'on a put vivre. Serai-ce l'effet de la mer qui rend la jeune mais pourtant adulte Seiko, totalement mélancolique ? Fort possible, peut être parce que ce soir là sur la même plage Seiko a pardonner a Sheik et que leur amour est allé jusqu'au bout ce soir ci, un soir comme celui là. Sauf qu'aujourd'hui la jolie jeune femme est seule et qu'elle ère l'âme en peine, bercer par ses souvenirs heureux du soir le plus merveilleux qu'elle n'eu jamais connu. Pourtant il en a d'autre, mais a croire que depuis sa rupture avec le merveilleux Sheik, celui qu'elle avait aimé du plus profond de son être son coeur ne veut plus aimé ? Le jour ou on sus qu'entre elle et lui c'était fini c'était comme ci elle tomber de son nuage pour mal retomber sur la terre ferme. Oui parce que même si elle avait l'air remise, sa guérison partielle aura durée une année. Une année dans un pays loin de celui ou elle avait vécut, mademoiselle était partie en France. Elle avait vu la tour Eiffel et rencontrer des français beaucoup de français, mais finalement aucun ne valaient son doux et véritable premier amour. Alors elle avait décider de revenir dans le lieux de ses meilleurs années de vie, en espèrant y revoir tout ses amis, aussi bien son frère, que Nana, Erylis, Nobuo, Maki et... Oui je croit qu'elle espérée aussi y revoir Sheik. Même si l'esprit rationnel de la jeune femme lui disait de l'oublier, de le rayé et de chercher, après tout le temps guérit nos blessures même celle du coeur.

Alors la voilà ici, face a l'horizon nocturne de la plage de Nigilist. Un endroit lui rapellant certe de bons mais douloureux souvenir mais aussi la reposant de ses journées plutôt étonnante et très fatiguante. Pourquoi ? Parce que Seiko, entrée en fac de médecine ce devait d'éffectuer un stage rémunérée de trois semaines. Elle aurait souhaiter un stage tel que chez un vétérinaire, un chirugien ou même un petit médecin de campagne mais elle s'y est pris trop tard et la voilà chez un gynécologue... Et quel gynécologue ! Un pervers de 35 ballets toujours a lui mette la main au fesses, de plus vive les clients... Entre la nouvelle vierge Marie et l'homme enceinte... Elle avait demandé un stage de gynécologue pas de psychologue bon sang ! Enfin ils sont tout de même drôle ses patients mais fatiguant bien que le plus fatiguant soit le médecin. Mais vraiment, un pauvre pervers qui aurait mieux fait de faire gigolo que gynécologue surtout vu sa crudité en matière d'annonçage de nouvelle. Je vous dit moi ce type est un arracheur de dents, il vous dit que ce n'ai rien, que vous n'aurez pas mal ou plutôt dans ce cadre là que le bébé est en bonne santé qu'il est déjà très beau mais comme un dentiste vous dira avec son sourire filpant « il faut vous l'arracher », il est capable de finir par « il y a juste un petit soucis il sera victime de la trisomie 18 et risque de ne même pas vivre 6 mois, je vous conseil l'avortement ». Et ce n'ai pas une impression aujourd'hui il a sortit cela a une cliente... La pauvre elle est sortit en pleurant, et a pris rendez vous pour avorter. Mais comment fait-il pour avoir encore des clientes ? Ce type aurait bien plus sa place dans un cabaret en temps qu'humouriste noir que gynécologue dans un cabinet accueillant du monde... C'est un danger pour la société, vraiment ! Enfin c'est ce que pense Seiko, qui d'ailleurs tellement stressé par son nouveau boulot provisoire, s'est acheté un paquet de clope et en fume une tranquillement sur la plage.

Sa faisait vraiment longtemps qu'elle n'avait pas mis les pied sur une plage mais aussi qu'elle n'avait pas fumé, une fois sa clope fini, elle retira ses chaussures pour sentir le sable fin couler entre ses orteils. Et décida qu'il faisait beau et qu'elle aller allait se baigner. Elle retira alors ses vêtements pour se retrouver en bikini noir, donc en faite avec le voile sombre de la nuit on aurait dit que la demoiselle n'avait rien sur elle. Il ne faisait vraiment pas froid ce soir et l'eau était a la bonne température, ni trop froid ni trop chaud juste comme il faut. Elle entra une de ses longues et fines jambes puis l'autre dans l'eau salée, puis s'y coula entièrement, tout en fermant les yeux, l'esprit vide. La solitude pesante, elle se croyait vraiment comme ce soir la avec Sheik, mais malheureusement le beau jeune homme n'était pas la.

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_Le soleil à rendez vous avec la lune mais la lune ne vient pas et le soleil attend...

Yoru chantonnait, seul, assis sur une chaise de bar. Ce soir la lune était bel et bien au rendez-vous et les étoiles aussi; le soleil lui s'était coucher depuis belle lurettes. Le ciel reflétait tout son éclat sur les vagues, une mer d'étoiles et de cristal. Toujours la guitare à la main, fredonnait ce que l'océan lui disait.
Ce n'est pas facile à comprendre le sens de ma phrase, mais cela reflète la scène, dans ces moments là, on ne sait pas trop ce qu'il se passe. On est calme, serein, libre, on a l'impression d'être un petit morceau de cette nature si puissante. Alors, comme écrasé devant la force de l'environnement, on se soumet et on laisse parler notre coeur, je crois que tous le monde dans ces moments là aurait envie de chanter, ou du moins fredonner. Tellement en osmose que l'on se laisse bercer par le ronron de l'eau et on raconte sa journée à une étoile. On a beau se plaindre, l'emploi du temps d'un astéroïde doit être aussi chargé que celui du président. Au moins lui il voyage, il découvre, il admire la beauté de la Terre. Yoru n'avait pas envie de voyager, au contraire, il se sentait bien ici, en sécurité, il avait son petit, « chez soi » derrière lui, et semblait maitre de la plage. Son pied, sans s'en rendre compte effleurait des milliers de grains de sable. Il aimait marché sur le sable vierge, et avoir un sentiment de découverte, d'être le premier, d'avoir son paradis secret.
Si la lune, s'était intéressé et avait discuté avec Yoru, il lui aurai surement dit qu'il était un homme heureux, satisfait. Un homme qui avait renouer avec son passé et déployer son avenir. Il connaissait le plaisir de vivre sa vie. Non mécontent d'être sur terre et de d'avoir une vie, peut-être rempli de haut et de bas, mais une vie remplie rencontre, de discussions; pas une vie monotone.
Le garçon lui aurait aussi décrit la belle Seiko avec qui il était devenu ami, il lui aurait narrer ses paroles et sa magnifique manières de bouger les mains, tous c'est petit détails, que la lune, elle peut écouter car elle a toute une nuit pour vous entendre. Le meilleur psychologue du monde, est tous les soirs près de vous. Enfin, Yoru aurait forcement était fière de lui présenté son restaurant.
Ses premiers clients était venu, il s'était tellement décarcassé pour donner du mieux de lui même que ceux-ci avait adoré le cadre, le service et le repas. Ils lui avaient promis d'en parler à leurs amis. Pour couronner le tout, un jeune couple lui avait réservé la salle pour une fête. Son premier salaire par sa propre entreprise était enfin arriver. Peut-être aurait-il osé avoué à la lune que ce soir, tellement fatigué mais à la fois heureux de la dur labeur du travail qu'il avait daigné aller au Night Club. Puis comme il est venu, il serai repartie en la saluant et en lui trouvant un peu surnom : sa petite lune de miel...

Quand Yoru remis les pieds sur terre,il était allonger sur le sable, devant sa chaise, sa guitare à côté de lui. Pour se requinquer, le rêveur se leva et alla préparé son petit punch maison. Lorsqu'il vit une ombre dans l'eau, il se frotta tout d'abord les yeux. Décidément il avait trop la tête dans la lune.
Une personne avait été tenté de faire un bain de minuit ? Cela restait probable après tout. Ce soir là il faisait assez chaud, des nuages avaient menacée en fin d'après-midi, mais au contraire sur la plage, le temps était lourd comme un soir d'orage. Ce temps était trop lourds pour dormir, cela comprimait les rêves.
Curieux, le petit Yoru alla rendre visite à l'inconnu de la plage. Verres à la main, short hawaïen et lunette remontés sur les cheveux, il avait oublié de les enlevés, Sa marche fut lente, il ne pouvait s'empêcher de caresser le sable avec ses pieds, cela lui procurait une sensation de douceur intense, il en était presque en extase. Doucement il s'approcha de la sihouette, qui l'avait aperçu.
De longs cheveux noirs, glissait sur le bikini noir, qui était prolongée par de fines jambes. Une magnifique silhouette féminine que voilà !
Sans reconnaitre le visage de la personne il s'allongea près d'elle, les pieds dans l'eau et lui dit :

Que fait une belle Mademoiselle à cette heure là, sur une si belle plage ?

Il se releva pour admirer le visage de la belle déesse maritime, quand il aperçu Seiko, il se figea ! Incroyable, il la retrouvait ! Elle ! Ici !
Mais un autre sentiment suivis la joie, avec la phrase qu'il venait de dire, elle allait rire de son ridicule.

Seiko ????!!!!

Spoiler:

La jeune femme gardait toujours les yeux fermer, sur son corps glissait de fines gouttes d'eau salées, mais l'ennui était que ces gouttes ne provenait pas de l'étendue d'eau a ses pieds mais de ses yeux... Pourquoi pleurait-elle ? Voilà une bonne question autant pour nous que pour elle même. Pourquoi est ce que les larmes était-elles venues ? A cause de ses souvenirs ? Peut être, même sur ment, il faut l'avouer, surtout que les souvenir en ce lieux était grand, devant l'immensité de la mer elle avait remarqué un phare allumé, le même que celui qu'elle avait vu lorsqu'elle était enfant. Elle eut une révélation c'était ici, aussi qu'elle avait vu la première fois la mer, le jour de ses 6 ans, c'est là que sa famille était venue... Elle se souvenait de son enthousiasme de rentrer dans l'eau et d'apprendre a nager. Mais le souvenir était devenu douloureux, elle se repellait l'odeur de sa mère sa peau pleines de gouttelettes, et sa voix lui disant en tout innocence que jamais elle ne la quitterait... Menteuse ! Mais pourquoi tant d'acharnement sur la famille Uroko, une question qui restera toujours sans réponse...

Sa respiration devînt un peu plus prononcé, mais elle retenu ses sanglots, il ne fallait pas qu'elle pleure elle était venu pour retrouver tout son calme, pas la peine de pleurer pour sa ? Elle mit sa main au dessus de ses yeux, comme pour se cacher du ciel, dos a la plage. Toujours les yeux emplies de larmes mais le regard planté sur le ciel étoilé, avait vous déjà vu quelque chose de plus beau qu'un ciel nocturne éclairé par une lune. De plus le climat était doux, elle pouvait sans problèmes rester en bikini en dehors de l'eau claire. Elle essayé aussi de se vidé la tête pour arrêter ses larmes, elle n'aimait pas pleurer encore plus sans savoir vraiment pourquoi... C'était très embêtant et elle se sentait observer, au moins par l'astre au dessus d'elle. Mais pas seulement.

Mais voilà la belle Seiko, la tête pleine de souvenir les larmes coulant a flot, seule ou presque... Elle entendu une voix familière derrière elle.

Que fait une belle Mademoiselle à cette heure là, sur une si belle plage ?

La voix d'un jeune homme, elle se retourna rapidement vers le jeune homme, elle n'avait même pas le temps de lui répondre elle repassa sous l'eau pour ne pas qu'il voit qu'elle pleurait et se retînt de sangloté, la force psychologique et impressionnante, dès qu'elle vu Yoru elle arrêta de pleurer. Là elle pris une voix tout a fait naturel, elle aurait était dans son état normale sur ment se serait elle fichu un peut du pauvre garçon a priorit géné alors elle s'approcha juste doucement de lui.

Seiko ????!!!!

Il l'avait reconnu et semblait maintenant ridicule par rapport a sa première phrase. Seiko ne rigola pas tout de suite, elle s'assit a ses cotés et l'embrassa sur la joue, en lui disant :

-Dit donc le beau Yoru serait-il un dragueur ?

La elle lui fit un beau sourire très amusé, sans éclat de rire. Même si elle croyait en la nuit et voulait que celle ci la protège de son voile noir de manière a ce que Yoru ne voit pas que des larmes avait coulé de ses yeux couleurs de l'océan, même si celle ci avait a peut près arrêter de couler, Seiko pris la main de Yoru et lui dit sur un ton très amusée.

-Tu viens te baigner avec moi ?

Puis elle se leva et tira la main du « pauvre » Yoru, pas bien fort parce que de tout façon d'une question de force, par rapport au jeune homme elle n'avait vraiment aucune force...

-En faite ta pas le choix, dans tout les cas tu seras mouillé.

Elle lui tira la langue et lâcha la main du jeune homme puis enfin elle l'éclaboussa, comme elle avait put faire avec son frère il y a déjà longtemps... Comme une enfant d'a peine 10 ans mais après tout il faut bien savoir s'amuser, en espérant qu'il ne le prenne pas mal...

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Lorsque que Yoru reconnu Seiko, il avait... hum plus que ridicule que c'est quoi ? La honte ? Ouai bah c'est sa ! Il avait la honte. A vrai dire ce n'est pas malin d'aborder les gens sans les regarder. Enfin ce soir, ou plutôt ce matin, j'avais pas ma montre sur moi ce jour là... il avait autre chose à penser qu'au formalité, quelqu'un était sur la plage... il pouvait parlé c'était bien. Il se trouvait que c'était une fille... c'était mieux, et il se trouvait que c'était Seiko, c'était parfait. Enfin bon, reprenons, sachant que le ridicule de tue pas... ou presque, Yoru retrouva le sourire, il avait angoissé toute la journée, pourquoi ? Car à vrai dire il s'était lancé dans quelque chose de nouveaux pour lui. Il n'avait jamais fait d'école d'hôtellerie, ni de cuisine... cela dit, il ne cuisinait pas mal. C'était un passe temps, il aimait cuisiné pour lui et pour les autres. Le mieux c'est quand on lui disait que c'était bon... comme tous le monde... qui n'aime pas être flatter ? [Hein ?! ] Être cuisiner est une idée qui lui est venu quand il était pré-adolescent. A cet époque cuisiner équivalait à la case fille, dans cette société rempli de préjugés. Néanmoins, lui, tous les jours faisait la cuisine chez lui. Son père n'avait pas le temps, et sa mère détestait ça, elle était contente d'avoir une corvée en moins. Encore une fois, je divague, pour lui alors recevoir des gens comme ça, c'était quelque chose de nouveau, puis il n'avait pas un petit travail ! Seul, il devait cuisiner, servir et s'occuper du bar. Bien sûr, il en rêvait, mais la peur de l'échec le poussait à faire un travail non-négligeable. Quand sa journée fut enfin fini. Il ne put dormir, trop peur du lendemain, de se planter. Il préférait de plus passé cette journée. Il avait réussi, les gens étaient content de lui. Hélas, resté sur une réussite est tout bonnement impossible, comme une civilisation ne peu avoir une apogée éternelle. Toutes les bonnes choses ont une fin, et donnent faim aussi. Allez c'était une petite blague de cuisinier... pas drôle ? Désolé je peux pas sortir, vous voyez bien que je suis entrain d'écrire un Rp là !
Le jeune homme avait pus sommeiller légèrement grâce à une tisane et à sa guitare qui lui servit de berceuse. Quand à son réveil, il avait beau se pincer une dizaine de fois, il se trouvait belle et bien en face de la belle et unique Seiko. Celle-ci lui sourit avec ses belles dents blanches qui reflétaient la lumière de la lune et sa petite bouche fine qui donnait avec sa bouille toute mignonne [] un air enfantin. Ce qui faisait, entre autres, tout son charme. La jeune fille changea d'attitude quand Yoru s'était approché... elle caché quelque chose.
Un secret enterrer en elle, un secret qui germait toute sa mélancolie, qui fleurissait de petites larmes. Le garçon ne savait pas comment réagir, d'ailleurs celle-ci ne fit comme s'y rien était, et peut-être se réjouissait-elle de la venu du garçon ? Grâce à lui, le rire, la joie, et le sourire n'était plus un masque d'elle-même devant le monde. Yoru était tout aussi heureux de la voir, il y avait bien réfléchi, et c'était pour lui une chance de rattraper le temps perdu. Mais si ce n'était que cela, Yoru ne serait un dragueur parmi tant d'autres, qui orgueilleux, refuse d'avoir un échec sentimental, et tente le tous pour le tous pour réussir même à des fins immoral. Lui, ressentait un lui, ne boule dans le ventre à chaque fois qu'il croisant son regard. Alors qu'en grandissant il avait gagné en faciliter de dialoguer et sa timidité avait peu à peu disparu... avec elle c'était le parcours du combattant pour sortir une phrase. Son cerveau faisait une telle gymnastique pour essayer, en vain, d'être parfait devant elle. Hélas, trop réfléchir n'était pas bon et c'est comme ça qu'il faisait encore plus de gaffes.
Quand, Seiko lui embrassa la joue, il devînt tout rouge. Il n'avait encore rien dit, rien fait ! Cela lui mis à la puce à l'oreille, quelle avait besoin de réconfort ce soir. Mais, en tous cas, ses talents de dragueurs étaient encore à prouver. D'ailleurs la jeune femme fut surpris elle-même de sa phrase qu'il n'aurait jamais dit si il l'avait reconnu.

-Dit donc le beau Yoru serait-il un dragueur ? [/b]

Yoru ria et haussa les épaules. A première vue, elle aussi était décontracté ce soir. Il offrit donc à son cerveau un jour de RTT, pour lui permettre de laisser parler son coeur, et ... d'être lui. Sans masque, mais dévoilé sa vrai personnalité. Retrouvé ça facilité à parler devant elle.

[b]-Tu viens te baigner avec moi ?

Article 578-3B du code de la drague :

Quand, une fille te propose quelque chose que tu adorais faire avec elle.
Fait mine de ne pas t'y intéressé. Car telle est la psycologie :
Fuis les femmes, elle te suit, Suis les femmes, elle te fuit.

Un jour, au lycée alors qu'il essayait désespérément, d'approcher une fille, qui fut d'ailleurs un de ses amours du lycée, un ami à lui, qui avait de grande facilité lui avait dit ceci. Lorsque Seiko prononça c'est quelques mots, Yoru eut un tilt. Cette règle d'or lui revînt à l'esprit. Il mis donc en pratique en essayant de pas en faire trop. Il rechigna un peu, puis sourit lorsqu'elle lui tira sa main.
Il se releva, s'étira, bu son cocktail, enleva ses lunettes et regarda sa Seiko qui en l'éclaboussant lui disait :

-En faite ta pas le choix, dans tout les cas tu seras mouillé.

Il rigola. Être adulte c'est quoi ? Être triste tous le temps ? Avoir des responsabilités ? Ne plus s'amuser ? Dans ce cas à quoi bon être adulte, et revenir à joué et à rire comme un enfant. Vivre heureux, se moquant des jaloux qui vous traites de gamin, d'immature. Il s'approcha d'elle. S'arrêta de rigoler, pris un air sérieux et lui dit en passant son pouce sur la paupière comme pour essuyer ses larmes.

Je ne veux pas me baigner dans un océan de larmes.

Le visage de la jeune fille était redevenu sombre triste. Il avait raison, elle avait bel et bien pleurer. Il lui sourit regarda l'horizon et dit :

Le passé il existe que pour nous empoisonné, vis ta vie pendant qu'on a encore le droit de s'amuser et occupe toi de ton avenir...

Il la souleva et la pris doucement dans ses bras, l'embrassa à son tour sur la joue et continua en riant :

D'ailleurs ton avenir maintenant c'est d'aller dans l'eau !

Il couru dans la mer, jusqu'à que l'eau lui arrive jusqu'à la taille et pris sa respiration exagérément pour que Seiko fasse de même et il sauta dans l'eau. J'ai toujours rêver de finir un rp par un magistral :
PLOUUUUUF

La voilà sur les planche d'une pièce de théâtre dramatique. Elle avait voulut joué la comédie, pour ne pas qu'on remarque sa douleur intérieur, mais elle s'avérer être une mauvaise actrice. Ou alors il avait un 6ième sens... Ou peut être les deux. Il semblait lire en elle, peut être juste semblait mais... Enfin voilà, elle était mise a nue, troublé et déconcentré, de plus d'un instant a l'autre les larmes recommenceront a couler. A couler a flot comme a chaque fois qu'elle pleure. Mais il lui fallait maintenir le bouton stop. Il n'avait encore rien dit, elle essayé de faire comme si de rien n'était d'être Seiko Uroko. Mais alors qu'elle lui proposa d'aller se baigner, qu'elle l'éclaboussa avec son air d'enfant naturel, qu'il ria. Puis tout d'un coup il repris un air sérieux, de ceux qui glace le sang surtout quand on pensait avoir une petite chance de s'en sortir mais voilà qu'il passa un doigt sur les paupières humide de la jeune femme. Elle frissonna, étrange sensation que d'être trahit par elle même, et en plus d'être remarquer par celui qu'il ne fallait pas, si le poisson a ses pieds l'avait remarqué il n'y avait pas de problème, mais non il fallait que Yoru le remarque et voilà qu'elle commence a penser a des choses étrange comme au poisson qui lui chatouillé les jambes comme un chat réclamant sa nourriture. Et encore une comparaison douteuse, un chat a un poisson ? Seiko calme toi bon sang ! Si s'était tue et repris son éclat de rire pas de problème mais il prononça des mots, qui avait le don d'enclenchait le mécanisme des perles salée coulant sur les joues de la jeune femme.

Je ne veux pas me baigner dans un océan de larmes.

Elle ne dit rien, resta muette, retira son sourire de sa belle face et laissa coulé une, puis deux, voir trois larmes... Elle trembla, comme une peur panique sauf qu'elle pris sur elle pour reprendre son rôle d'actrice d'une mauvaise série soit disant dramatique, en faite c'est dramatique pour ceux qui le vivent pas pour les autres. Ceux qui regarde comme en ce moment la lune et ses amis les étoiles, doivent bien se foutre de ce que ressent Seiko en ce moment, de sa sensation de tristesse et de mélancolie... Mais aussi de sa manière de vouloir ce mettre en position tortue sous sa carapace, a la place elle chercha le regard de Yoru, réaction totalement idiote étant donné qu'elle ne voulait pas qu'il voit les larmes versaient a côté de lui, pour un génie comme elle il aurait pourtant était simple au moins de ce placé de façon a ce qu'il ne voit rien, d'être dans le côté sombre de la lune et qu'elle ne fasse pas brillait ses larmes. Mais voilà ce soir elle n'avait vraiment pas envie de réfléchir, juste de se laisser porter par ses sentiments. Elle suivit le regard du jeune homme, celui ci venait se posé sur l'horizon, alors elle fit de même cherchant ce qu'il pouvait observé. Était-ce les étoiles symboles de l'infini ou alors la lune a la lumière apaisante ? Quoi qu'il en soit Seiko se perdit dans la douceur de l'astre blanc qui ce soir resplendis au dessus d'eux. Et qui de plus se reflete dans l'eau bleu, ainsi que les millions de petits points plein de lumière. Voilà que les lèvre de Yoru s'activèrent.

Le passé il existe que pour nous empoisonné, vis ta vie pendant qu'on a encore le droit de s'amuser et occupe toi de ton avenir...

Comment pouvait-il savoir que c'était le passé qui la faisait pleurer ? Comment ? Elle n'y croyait pas... Il était très fort, pour lire en elle. Mais il fallait vraiment qu'elle appui sur stop, pour stopper ces maudites larmes, qui arrivent toujours quand il ne faut pas.

-Je... Je...

Mais voilà c'était plutôt sur « pause » qu'elle avait appuyé parce que là les larmes re coulèrent. Mais il la pris doucement dans ses bras et lui embrassa la joue, que devait elle ressentir a ce moment là ? Que ressentait elle ? Pourquoi lorsqu'elle était avec lui elle ne se sentait plus comme normalement réfléchi et intelligente, elle se sentait dépourvu de réflexion et surtout l'envie n'y était pas, elle ne voulait pas non plus lui mentir, ce n'était pas possible avec lui il fallait qu'elle soit sincère, elle ferma les yeux et ouvrir la bouche mais il lui coupa la parole.

D'ailleurs ton avenir maintenant c'est d'aller dans l'eau !

Voilà qu'il reprenait les attitudes de gamine de Seiko elle ne put s'empêcher de rire. Et elle cacha encore ses sanglots, en un bel éclat de rire. Yoru lui plongea et invita subtilement (xD) Seiko a faire de même, se qu'elle fit. Elle resta d'ailleurs plusieurs secondes sous l'eau la elle était bien, là elle pouvait pleurer dans l'intimité la plus complète mais elle remonta assez vite, finalement, parce qu'enfaite elle avait envie de voir le visage de Yoru éclairé par la lune. Elle sortie la tête de l'eau et secoua sa chevelure pour la remettre en arrière. Elle sourit et regarda Yoru droit dans les yeux. Elle avait envie de lui demander comment il avait su qu'elle avait pleurer, mais sa y son cerveau remarcher trop vite et trop intensément. Elle ne voulait tout de même pas gacher l'ambiance enfantine qui pesait, mais si enfaite c'était plus fort qu'elle et en plus les larmes recoulèrent sur ses joues. Elle se fixa sur la lune et les étoiles.

-Dit tu crois toi a cette histoire d'humain qui se réincarne en étoile et qui veille toujours sur toi ? Tu crois que dans ce magnifique ciel je peux y trouver l'âme de mon père, de ma mère et de ma soeur ? Enfin je gache tout là... Tu crois que tout est tracé, que le destin fait déjà tout pour nous et ne nous laisse pas agir ? Tu sait pourquoi aussi j'aime cette endroi alors qu'en faite il s y est passé des choses magnifique mais qui devienne des souvenir douloureux ? Tu sais pouquoi je te demande autant de chose auquel tu ne peux surment pas répondre alors que je voudrais m'amusé avec toi ? Et pourquoi je pleure ? Pourquoi avec toi j'arrive a dire des choses qui me pèse sur la consience, pourquoi je suis sincère ? Parce que tu me rappelle la lueur d'espoir qui m'a fait sortir de la situation dans laquel j'étais avec Kyoshiro ? Tu te rends compte que je ne me comprend même plus moi même ? J'aurais peut être dut rester en France... Quoi que je ne t'aurais pas revu, alors... Enfin je... Bref, je dois sécher mes larmes et stoppé cette histoire de mélancolie intense.
Tu as remarqué comme la lune est belle ce soir ?

Elle resta le sourire béa, enfait elle avait franchement envie d'aller se blottir dans les bras du jeune homme pour être un peu consoler, mais... Il y a tout de même des limites a ne pas franchir. Qu'est ce qu'il aurait pensé ? Franchement... Les larmes défilèrent sur ses joues leurs vitesses augmentèrent et les sanglots s'enchaînèrent. Mais pourquoi pleurait-elle ? Mais pourquoi... Pourquoi et de plus dans sa tête une nouvelle question s'imposa ses lames était elle de joie ou de peine ?

-Excuse moi... Je gâche tout avec mes larmes a la noix...

Elle mit la tête dans ses mains. Et descendit sous l'eau, la dessous elle se sentait comme un embryon dans le ventre de sa mère, sereine et innocente, mais elle y resta au moins une minute il fallait qu'elle remonte et assez rapidement, ce serai dommage de finir sa vie sous l'eau avec un beau jeune homme que l'on aime beaucoup a ses cotés, alors elle remonta et respira enfin. Elle avait stoppé ses sanglots en allant sous l'eau. Mais ses larmes coulaient toujours...

*J'ai peur, peur de ce qu'il peut dire ou penser, je suis vraiment étrange je devrais pouvoir au moins me comprendre, mais pas depuis que je suis revenu ici et encore moins depuis que j'ai revu Yoru. En tout cas il faut que je sèche mes larmes.*

Elle se refigea sur le ciel et ses étoiles dorées, elles au moins ne pouvait pas vraiment lui reprocher quelque chose, de plus le ciel et pour la sincérité, jamais elle n'avait était aussi sincère...

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Je ne veux pas me baigner dans un océan de larmes.

Lorsque Yoru eut à peine prononcer c'est quelques mots, il eut déjà des remords. Pourquoi cherchait il à savoir, à remuer des tristesse que la jeune fille avait eut temps de mal à apaiser. Voulait-il joué le héros, le psychologue, le garçon à l'écoute, réceptif, attentif ? Peut-être... ou voulait il simplement connaitre la vrai Seiko. Pas le masque, la fausse facette toujours contente, toujours souriante mais la Seiko qui essaye de vivre tant qu'elle peut, avec ses problèmes mais heureusement des joies. Au fond il l'admirait, il avait la semaine précédente laisser parler son coeur mais contrairement à elle, il avait du mal à être sincère. Il préférait garder tous ces problèmes sur son dos, enfouit sur sa carapace. Vous pouvez-vous dire, qu'es qu'il a à être malheureux lui ? Il habite dans un pays riche, il a la chance de travailler, d'être aller à l'école, de manger à sa faim. C'est vrai que les américains, européens, japonais ont tous pour être heureux. Si seulement ils étaient moins méchant entre eux.
Ils se pourrissent la vie. L'un joue le rôle du vautour l'autre de la proie. Il faut choisir son rôle, dans cette scène de théâtre dramatique qui est la vie quotidienne. D'ailleurs Yoru, comment avait-il remarquer qu'elle pleurait ?
Elle s'était pourtant cacher. Lorsque les gens sont fatigués ou en grande réflexion c'est là que l'on ressent le plus leur vrai caractère, on arrive facilement à voir leur humeur. Seiko parlait doucement, la voix un peu enroué, le sourire que l'on a lorsqu'on pleure on est triste et pourtant on sourie encore.
Ça c'est quelque chose de difficile à comprendre, mais les gens qui ont ce sourire là on un coeur d'artichaut, certes mais surtout sont tous bonnement humain. Devant Yoru elle ne pleurait pas, hélas pour elle, ces signes que je vous ai listé sont révélateurs. Puis au clair de lune, le garçon avait remarqué que les paupières et les joues de la jeune fille était encore humide.
Mais pourquoi avoir reparler de ça... surement il devait être fatigué, psychologiquement fatigué, usé par se journée. Puis dans son élan de sincérité et de garçon à l'écoute, il avait bluffer, le passé. Ce bluff, n'était pas une raison au hasard. Les humains, sont tous différents pourtant tous les mêmes. Difficile à expliquer. Le passé était en tous cas pour lui une raison de tristesse. A première vue, c'était le cas aussi pour la jeune femme. Personne n'a une mémoire infaillible, dans son passé on se souvient des moments heureux certes mais plus facilement des moments qui nous ont traumatisé.

Après avoir vu les larmes de Seiko, il ne pouvait pas se permettre de la faire pleurer, de la rendre triste. Au contraire il voulait qu'elle soit heureuse avec lui, pour toujours. Mais ça c'est une toute autre affaire. Enfin pas tant que ça, car dans ce but précédent, si il la faisait pleurer c'était mal parti. Alors pour détendre l'atmosphère ils se baignèrent un peu. Hélas, trop tard, le mal ou la discutions était lancé. En même temps, si il avait changé de sujet cela aurai mis une ambiance lourde. Après avoir brièvement rigolé, Seiko lui annonça ce qu'il lui passait dans la tête. C'est ce qu'il aimait chez elle. Sa sincérité, son naturelle, ses questionnements sur le monde, elle disait tous haut ce qu'il pensait tout bas. Cela ne faisait que des atouts en plus de la beauté hors du commun de la jeune femme. Si Yoru n'avait pas été éperdument amoureux et avait une envie de rattraper son amour d'enfance il se serait peut-être défiler à autant de question d'un coup.

_ Moi, j'aime imaginer qu'il y a quelqu'un la haut... qui nous surveille, avec une grande barbe blanche et une pile de dossier sur son bureau avec le nom de chaque habitant de la planète Terre. J'aime me dire que si mon destin est tracé alors pourquoi suivre la loi de la logique. Autant faire tous et n'importe quoi le contraire des lois morales. Et donner un peu de boulot à celui qui est là haut.
Me dire... ah ? C'était pas prévu ça hein ? Enfin bon, c'est moi qui doit être taré.
Pour moi, encore une de mes thèses. Les étoiles sont pures et innocente alors pourquoi les chargés des personnes qui ont vécus sur terre avec leur peines ?
Ces personnes là qu'on aime, si on les aime réellement, on a dans son coeur, dans sa tête. Juste à claquer des doigts lorsqu'on est au claire de lune avec une charmante demoiselle et leur demander conseils. Tu vois moi aussi, je dis ce que je pense et je suis heureux qu'on puisse partager ces sentiments ensemble. J'aurai jamais été aussi heureux si tu étais resté en France...
C'est aussi beau que cette lune là la France ?

Tous ce qu'il avait dis là il ne l'avais jamais dit à personne. Cela restait dans sa tête. C'était ses petites idées à lui sur le monde. Depuis 2000 ans, on avait partager tant d'idées sur le monde qu'il s'y perdait... pour lui chacun devait avoir sa propre vision. Elle mit sa tête sous l'eau pour arrêter de pleurer. Puis elle se releva, plus belle que jamais, les cheveux ruisselants au claire de lune.
C'était en parti à cause de lui si elle pleurait. En plus, il ne pouvait plus rester là à ne rien faire. L'envie de lui dire combien il aime ses gestes, sa voix, sa bouche, ses cheveux, ses yeux. Puis il aime aussi comment elle parle, ce qu'elle dit, sa timidité, son rire. Chaque geste et chaque mot qu'elle disait ne faisaient qu'amplifier son brulant désir d'être avec elle. Il s'approcha d'elle, la regarda dans les yeux, pris ses mains et chuchota :

Tu ne gâches, rien du tout tu es belle quand tu pleures.

_ Moi, j'aime imaginer qu'il y a quelqu'un la haut... qui nous surveille, avec une grande barbe blanche et une pile de dossier sur son bureau avec le nom de chaque habitant de la planète Terre. J'aime me dire que si mon destin est tracé alors pourquoi suivre la loi de la logique. Autant faire tous et n'importe quoi le contraire des lois morales. Et donner un peu de boulot à celui qui est là haut.
Me dire... ah ? C'était pas prévu ça hein ? Enfin bon, c'est moi qui doit être taré.
Pour moi, encore une de mes thèses. Les étoiles sont pures et innocente alors pourquoi les chargés des personnes qui ont vécus sur terre avec leur peines ?
Ces personnes là qu'on aime, si on les aime réellement, on a dans son coeur, dans sa tête. Juste à claquer des doigts lorsqu'on est au claire de lune avec une charmante demoiselle et leur demander conseils. Tu vois moi aussi, je dis ce que je pense et je suis heureux qu'on puisse partager ces sentiments ensemble. J'aurai jamais été aussi heureux si tu étais resté en France...
C'est aussi beau que cette lune là la France ?

Il avait répondu a ses questions ? Il était totalement fou ?? Elle avait posé tant de questions, tout tout ce qui lui passé par la tête et répondre aux questions d'une jeune femme qui dit tout ce qui lui est passé par la tête, un exploit ! Surtout qu'il répondait en disant des choses comiques, poétiques et assez vraies du moins du point de vue de Seiko. Cela la fit réfléchir très vite, elle repensa a tout sa, et remis en place ses hypothèse et son opinon même si c'était difficile, le coeur battant comme elle l'avait. La belle sécha ses larmes et s'approcha de Yoru.

Tu ne gâches, rien du tout tu es belle quand tu pleures.

Elle s'aprété a parler mais non il coupa tout avec sa phrase. Il trouvé Seiko belle ? Sa lui faisait un de ses plaisir, enfin qui n'aime pas être complimenter. Enfin la sa la déstabilisa complétement.

-Je... Je...

Que faire a ce moment ? Écouter son coeur, sans réfléchir et faire ce dont elle avait envie ou continuer a parler comme a son habitude de génie. A vrai dire son cerveau lui dit de parler même si son coeur lui disait autre chose, il lui faisait de grand appel au secours en lui demandant de laisser sortir ses émotions... Mais pour le moment elle continua tant bien que mal de parler, a croire que son enfance l'avait bien trop marqué et qu'il fallait qu'elle parle, qu'elle se serve de se qu'elle avait appris, car enfaite elle était beaucoup plus a l'aise en réfléchissant qu'en laissant son coeur faire les chose a la place de son cerveau.

-Tu sais moi si je regarde le ciel ici, je peux te dire que ce n'ai pas le même que celui de Paris. Celui ci est beaucoup plus beau. Il est innocent et tendre. Quand je le regarde. J'ai envie d'aller décrocher une étoile, en espérant que dedans il y aura les âmes de ceux que j'aime ou que j'aimais. Alors qu'en France lorsque je voyais le ciel, je ne pouvais pas imaginer ma mère entrain de poursuivre Noa sur la petite ours et mon père la reprendre pour lui dire que ce n'ai pas bien alors qu'ici oui. Et puis le ciel change par rapport a celui avec qui on le regarde, il est très beau avec toi, comme il l'était avec Sheik ici même ce soir là. Pourtant tout est différent aujourd'hui. Aujourd'hui... Je suis en pleure mais pourtant heureuse, je parle de tout ce que je pense depuis longtemps, je suis contente d'être avec toi. Tu sais tu me fais pensé a Sheik mais pourtant vous n'avez pas grand chose en commun, peut être un peu physiquement, tu es aussi beau que lui l'était... Tu semble aussi doux aussi autant que lui, peu être même plus. Mais enfait c'est tout, il ne parlait pas comme sa avec moi. Il agissait toujours plus rapidement et me surprennais... C'est bizarre lorsque j'ai appris qu'il était mort mon coeur s'est brisé encore plus que lorsqu'on s'est quitté mais depuis que je t'ai revu il se raccommode peut a peu. Je pense que notre destin est tracé mais que nos avons plusieurs branche et tout dépend de nos choix. Depuis qu'on s'est revu, j'y crois de plus en plus, le hasard fait bien les choses mais tout de même... Il doit y avoir comme tu dis un vieux bonhomme a la barbe blanche qui dit que nous méritons telle ou tel chose. J'aime tellement cette plage même si elle me fais souffrir. Mais il y a tant de bon souvenir ici, douloureux mais beau. Et j'espère que celui ci ne sera jamais douloureux.

Elle laissa s'échappé une larme de ses yeux, maintenant qu'elle avait parlé avec sa tête si elle parlait un peu avec son coeur ? La jeune femme était toujours aussi troublé par sa présence, finalement elle se demander si elle ne ressentait pas un sentiment plus fort qu'elle ne pensait pour Yoru. L'avait-il réconcilié avec l'amour ? Ou c'était juste une impression ? Elle n'en savait rien en faite rien du tout... Pourquoi n'arrivait elle pas a se comprendre elle même ? Tout se troublé dans sa tête. En faite elle ferma les yeux pour les rouvrir braqué sur la lune. Elle lui demanda presque ce qu'il fallait qu'elle fasse, la lune ne l'aida pas beaucoup étrangement, mais pourtant sa l'aida a laissé parler son coeur et ses gestes. Ses gestes ? Elle s'approcha très près du beau jeune homme, approcha son visage, et passa sa main sur la joue de Yoru. Avec ses yeux humide, elle ouvrit la bouche pour parler de sa petite voix douce et mielleuse.

-Tu sais que tu es très beau Yoru... Tu me trouble, je ne sais plus se que je ressens quand tu es a mes cotés... Je veux savoir, je veux savoir vraiment mes sentiments envers toi... Alors pardonne moi s'il te plait.

Elle approcha son visage de celui du jeune homme, pour toucher ses lèvres avec les siennes. C'était tout ce qu'elle avait trouvé pour être sure de ce qu'elle ressentait, c'était ce que son coeur lui disait de faire. Elle ferma les yeux et profita de ses quelque seconde de bonheur, oui de bonheur, c'était un de ses baisers qui vous vont jusqu'au coeur. Qui son court mais pourtant très doux et qui rendent heureux. Elle était resté quelques secondes sa bouche contre celle du jeune homme, et maintenant elle savait, elle était en train de tomber amoureuse... Peut être l'était elle déjà dès leurs premier regard ? Du moins il l'avait toujours intéressée...

-Je crois au destin maintenant et je remercies les astres de m'avoir mené a toi. Yoru...

Elle le fixa droit dans les yeux.

-Yoru... Je... Je... Je...

Elle resta fixé sur les beau yeux du jeune homme, ne pouvant plus sortir un mot... Totalement pétrifiée, il allait peut être partir, la laissée seule... Ou alors il allait juste la remettre en place, mais la elle avait perdue sa langue... Elle avait envie de remettre sa bouche contre celle de Yoru mais non... Il ne fallait pas exagéré, elle préférée attendre sa réaction... Maintenant Seiko observait les étoiles qui brillait dans les yeux de celui dont elle était amoureuse... Enfin peut être pas follement amoureuse... Mais tout de même un peu même beaucoup il ne lui en fallait pas beaucoup plus pour qu'il devienne sa drogue... Pour qu'il remplace les clopes qui était resté sur la plage. Pour re connaître la sensation de l'amour partagé. Mais il fallait qu'elle arrête de rêver il n'y a qu'elle pour tomber amoureuse si vite...

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C'était le tableau parfait, le stéréotype idéal du si petit mais si grand mot qui contient tous ce qu'il exprime en seulement 5 lettres : amour; une nuit d'automne, sur la plage ou plutôt l'eau jusqu'au hanche, la pleine lune éclaire une belle mer calme, au milieu un homme, une femme éclairés par le satellite s'approche l'un et l'autre, se serre pour affronter le froid comme toute les épreuves de la vie. Une brise légère pousse un nuage qui cache petit à petit la lune, et soulève doucement les cheveux de la jeune femme qui timidement approchant sa tête de son partenaire offre un premier baiser d'un amour qui semble éternel.

Stoooooppppp ! Attend ? Je parle de Yoru là ? Oui. On se croirait dans un film romantique avec Meg Ryan. Un baiser ! Pas le petit bisou sur la joue, pas le gros emballage de chameau ( xD) mais LE BAISER. Celui qui ... transforme.
C'était tout un rêve qui se réalisait, lui qui ne croyait plus au grand amour de télévision, lui qui croyait que des belles histoires comme celle là, ça n'arrivait qu'aux autres. Je sais pas si Barack Obama ou Nicolas Sarkozy ont avoir quelque chose là-dedans; mais c'est ce que l'on pourrait appelé légalité des chances. C'était plus que la chance... comme décrire cette sensation que personne n'oublie, des lèvres un peu humide qui effleurent celle de notre partenaire, dans notre jeunesse.
Il y a exactement 1h03min et 59 sec, il n'y avait rien. Juste une belle amitié qui n'avait pas vraiment su commencer, qui débutait après dix. Juste une rencontre qui avait ravivé les souvenirs d'un passé douloureux, enfin différemment pour Seiko et Yoru, personne n'a le même point de vue. Vous y croyez au destin ? Je vous parle pas des lignes des mains, ni de regarder dans l'anus d'un poulet mais du destin... celui dont tout le monde parle mais ne sais pas de quoi il parle... parce que on sait pas ce que c'est. Enfin bon là, je ne sais pas quelle force mythique incroyable à permis à nos deux amoureux de se retrouver après 10 ans, alors qu'ils s'étaient jamais vraiment parlé et là ils se retrouvent, aujourd'hui par hasard. C'est beau quand même... je devrais écrire à Holliwood je suis sur qu'il accepterai le scénario. La soirée commençait déjà bien, ils étaient tous les deux, un soir, sur une plage. La jeune fille triste à l'approche de du jeune homme essuya ces larmes. Mais ce dernier remarqua vite le manège de la petite Seiko qui essayait de cacher sa tristesse, Yoru osa gâcher une atmosphère magique qui commençait, pour ne pas se voiler la face et connaitre la terrible vérité de la tristesse de ce qui allait devenir ça futur petite amie. Fou d'elle, lorsqu'elle, comme lui, à poser des questions à tous vas, il lui répondit ce qu'il avait sur le coeur. Sans rechigner et sans détourner la question. Mais alors que tous ça n'était que pensé et rêve. Sa manière de poser des questions sur le monde, de voir les gens, le rassura dans sa pensé. C'était elle, pas une autre. Puis elle parla de son ancien petit ami, apparemment un type bien, il fut heureux qu'il soit comparer à lui. Mais personne n'était parfait, il était à première vue quelqu'un de pas très surprenant. La surprendre... comment faire. Mais c'est elle qui le surpris... ce baiser... c'est un moment totalement magique. Ce n'était pas un baisé très sincère, enfin si, mais il permettait de prouver ses émotions pour lui. Après tous ce qu'elle avait dit sur lui, qui l'avait laissé pétrifier... sans pouvoir sortir aucun mot. Sans le vouloir, ou peut-être que si, elle était la femme la plus romantique du monde. Tous ces compliments qui sortait du coeur. Il pouvait qu'attendre le verdict après la fin des élections. Lui était sûr de ses sentiments pour elle. Il ne restait plus qu'à attendre cette phrase :

-Je crois au destin maintenant et je remercies les astres de m'avoir mené a toi. Yoru...

Il la regarda dans les yeux de Seiko, ensemble, une petite larme vînt incruster leurs regards à chacun d'eux. Une larme de joie cela ne pouvait être que ça.
Peut-être ressentait pas les mêmes sentiments pour lui, peut-être qu'elle pensait à son ancien petit ami. Il s'en foutait, il l'avait là devant lui.
Yoru, est quelqu'un d'assez jaloux, possessif. Là il l'avait pour lui seul.
Il caressa ses cheveux en pleurant doucement. Il la regarda, puis il se dit que c'était maintenant à son tour de sortir ce qu'il avait sur le coeur. D'une voix tremblante, naïve, il n'avait pas de phrase clairement formulé. Mais seulement des petits bouts de gentillesse qu'il ressentait pour elle.

Seiko... Seiko... je... Moi, je le sais, je le voulais dès le début, retrouver celle qui m'a donner la joie de vivre. Je t'ai aimé, je t'aimerai... quand je t'ai vu pleurer je me suis interdit que celle qui ma rendu joyeux sois triste à côté de moi... car moi lorsque tu es là... je suis le plus heureux des hommes.

Contrairement à ses habitudes, il aurait pus se demander si ce qu'il avait dit était nul, bateau. Peut-être mais il s'en fichait. Il l'aimait et il sentait que c'était réciproque mais maintenant c'était trop tard. Comme une dealeuse, elle lui avait donné une petite portion d'amour, il ne pouvait plus s'en passé.
Il la regarda, tout comme lui, pleurer comme un enfant. Grandir... il le fallait mais ce soir, ça serait peut-être sa dernière fois où comme un enfant dans un première amour, un amour non superficielle, donnerait son coeur.
Il essuya ses larmes... et l'admira... celle qu'il désirait.

-Yoru... Je... Je... Je...

Il mit son doigt devant sa bouche, comme pour lui dire de ne pas se compliquer la vie avec des mots. Et il approcha doucement sa tête, mis sa main dans ses cheveux et lui offrit plusieurs baiser chaud, en plus de son amour c'est la seul chose qu'il pouvait actuellement lui donner.
Ce moment, il avait toujours rêver et là et il en avait l'occasion, d'être devant elle et de lui offrir ses lèvres. Après plusieurs petit baiser, il lui sourit et lui offrit un véritable baiser, en faisant danser sensuellement leurs langues.
Après ce beau moments, il s'allongea, regarda les étoiles en lui tenant la main et soupira comme un souffle :

C'est le meilleurs moment de ma vie...

A quoi penser t-elle ? Une grande question disons qu'en se moment les yeux de Yoru retenait tout son attention, et la grande question était leur couleur exacte. Elle hésité entre chocolat et noisette a vrai dire, mais finalement elle opta pour chocolat aux noisettes... Ce qui lui donna d'ailleurs assez faim. Non, la jeune femme n'avait pas faim de chocolat mais des yeux du jeune homme. Elle attendait aussi une réaction précise. Elle venait de se mettre en situation de stresse... Elle voulait savoir si ses début de sentiments, déjà bien avancé était partagé. Toujours fixée sur le jeune homme elle vu ses lèvres s'activés pour exprimer des début de phrase... Des mots en vrac mais qui aurait pensé qu'une phrase sans sens exacte pouvait être aussi douce à l'oreille ? Et au coeur... La voix de Yoru était tremblante, elle était comme celle d'un petit garçon timide et naïf qui se déclare a la petite fille qu'il appelle Biscotte tellement il la trouve craquante... Elle avait l'impression de retomber en enfance, l'enfance qu'elle avait perdue, bouffé par des adultes utilisant l'innocence de pauvre enfant tromatisé pour leur propre utilité mais passons... Ce n'ai pas le sujet.
Seiko tellement concentré sur les lèvres qui la rendait gourmande, remarqua presque le décalage entre la vitesse de l'image et celle du son.

Seiko... Seiko... je... Moi, je le sais, je le voulais dès le début, retrouver celle qui m'a donner la joie de vivre. Je t'ai aimé, je t'aimerai... quand je t'ai vu pleurer je me suis interdit que celle qui ma rendu joyeux sois triste à côté de moi... car moi lorsque tu es là... je suis le plus heureux des hommes.

Elle ferma quelque seconde ses yeux bleu pour sentir le vent de la mer. Mais sa vision était tout de même plus agréable bien que le souffle du ciel l'était lui aussi. Elle posa doucement sa petite main douce et manucuré sur la poitrine de Yoru.
Il venait de dire qu'il l'aimait, elle sentit le frisson de l'excitation et de la joie l'envahir. Une petite larme qui commençait a emplir son oeil, cette fois une larme de bonheur. Elle plongea encore ses yeux dans ceux chocolat-noisette de son... petit ami ? Se mordillant un peu la lèvre tentant d'articuler un « je t'aime » mais fut impossible a sortir, pas là pas tout de suite. Le lieu... Cette plage, cette plage coincé sa voix elle ne pouvait pas sortir les véritable mots qui exprime tout ce qu'elle ressentait... Car mal grès le fait que le beau brun devant elle l'avait réconcilié avec l'amour, le souvenir du soir avec Sheik du nombre de mots qu'elle lui avait dit et qu'elle voulait dire a Yoru... Ces mots ne pouvait sortir, elle avait beaucoup trop l'impression de trahir l'homme qu'elle avait aimé et qui était mort en disant a un autre les même mots dans cet endroit sacré. Mais sa ne l'empêcherai pas de l'aimer même en ce lieu, elle ne lui dira juste pas « je t'aime » pas ici en tout cas... Elle était partie loin dans son raisonnement, sans le quitté des yeux mais pourtant, il la surpris en recommencent a l'embrasser. De tout petits baisers, doux et chaud pour commencer par dizaine... Puis un beau un grand, de ceux que l'on oublie pas de ceux qui font danser deux langues entre elles et qui donne envie de bien plus de contact que de ceux des lèvres. Le genre de baiser qui impose des caresses et des véritables sentiments pour être parfait. Car avec des sentiments on oublie vite le fait que notre partenaire « fait le moulin a café » et vous étrangle presque, ou alors a l'haleine peut agréable... Enfin bref bien sur rien de tout cela avec Yoru, c'était juste parfait, un baiser véritable et inoubliable... Un baiser qui était directement entré en numéro un du classement personnelle de la petite Seiko. Elle ne voulait pas finir ce baiser elle aurait voulu le continuer durant tout une nuit, juste lèvres contre lèvres, langue valsant avec langue...
Puis les deux tourtereaux s'installèrent pieds dans l'eau corps sur le sable. Yoru souffla.

C'est le meilleurs moment de ma vie...

Elle observa les étoiles qui brillaient dans les yeux de l'apollon a ses cotés, celui qui lui tenait d'une main tendre mais viril, et qui venait de lui offrir un moment digne d'un conte de fée, Yoru l'avait emmené dans un pays magique en juste quelques minutes...

-Yoru...

Par contre elle n'arrivait toujours pas a articuler plus que le prénom de son prince... Alors elle afficha le sourire de petite fille qu'elle savait si bien faire. Elle déposa un baiser chaud sur les lèvres du jeune homme avant de lâcher sa main pour se lever et tracer avec un doigt sur le sable un coeur. Elle inscrivit juste « I love you » gravée dans le sable a coup d'empreinte digitale... Ses souvenir l'empêcher de le dire, alors elle l'écrivit et en anglais, histoire de ne pas trahir l'âme de Sheik qui devait voler dans le ciel étoilé en ce moment. Et d'être sincère de dire tout ce qu'elle avait sur le coeur... Enfin de l'écrire... Puis elle observa la plage rapidement de là on voyait le restaurant de Yoru, pis elle vu sa guitare. Elle fut tout d'un coup prise d'une envie de musique... Elle se rapprocha du jeune homme et repris sa douce et chaude main. Elle montra la guitare du doigt.

-Je peux ? ...

Quelle changement de conversation ! Elle était entrain d'avouer sa flamme a celui qu'elle aimait et voilà qu'elle lui demande si elle peut se servir de sa guitare...

-Enfin... Roh... Et voilà je re gache tout... Désoler Yoru... Je... Je...

Elle se sentait ridicule maintenant... Elle soupira, enfait elle voulait vraiment lui dire « Je t'aime » tout les moyens était bon sauf la parole... Elle l'avait écrit mais la mer n'allait pas tarder a rendre cette écriture invisible ici elle n'était qu'éphémère et elle savait que son amour pour Yoru ne l'était pas.

-Je ne sait pas profiter d'un moment merveilleux... Sans vouloir tout mettre en règle, je veut te dire ce que je ressent pour toi... Yoru mais j'y arrive pas... J'ai envie de toucher les cordes de ta guitare pour pouvoir t'exprimer tout ce que tu es pour moi, la place que tu as pris dans mon coeur en si peut de temps... Mais maintenant je me rend compte que... Que... Je t'aime et que n'arrive pas a te le dire.

Enfin si elle venait de réussir... Elle lui avait dit sans s'en rendre compte, vraiment sans s'en rendre compte, s'était sortit tout seule...
Elle se rapprocha de Yoru, posa sa tête contre son épaule et déposa juste un bisous dans son cou. Avant d'encore se perdre dans ses yeux. Ou était le rapport avec se qu'elle avait dit ?? Nulle part... Etrange... Rien a faire... Elle même ne le trouvait pas, elle en avait envie s'était tout. Juste, juste sa. Elle jeta un rapide coup d'oeil a la lune et cru y voir Sheik entrain de sourire, mais enfait ce sourire n'avait plus le même effet sur elle qu'avant, alors elle en déduis que ses sentiments envers lui avait disparut...

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[HRP] Tout d'abord désolé du temps que ça à mis... presque une semaine... une semaine de patience... j'espère que après j'arriverai à te répondre plus vite.[HRP]

Que l'on soit, adulte ou adolescent, le jeu de l'amour n'est qu'un cercle qui se répète perpétuellement. Jusqu'à que celui-ci soit interrompu par une force indescriptible qui s'inscrit qu'une fois dans le coeur pour ne jamais s'effacer. Cela s'appelle l'amour. Mais ce n'est pas un amour, ennuyeux de petit vieux, ni un amour qui ne vas que dans un sens, sans reconnaissance. Là où les deux individus se ressemble mais à la fois se complète. Là où les deux amoureux attendent et partagent à l'autre son caractère, ses envies, au quotidien.
Le plus dur est de savoir si la relation qu'on établie avec quelqu'un est la bonne, celle qui comme dans les livres dure pour toujours. Avec des rebondissement bien sûr, nous sommes des humains et nous le resteront.
Il est difficile de reconnaitre le véritable amour Car à moins d'être un bourreau avec un coeur de pierre, nous aimons la personne et nous la désirons. Nous ressentons, au moment où pour la première fois nous sentons sa petite main chaude au creux de la notre, une sorte de satisfaction intérieur. Une joie de vivre, une mécanique automatique qui ouvre les portes de notre sourire et éclaire notre vie en rose. Mais l'amour reste un travail, il faut tous les jours entretenir sa flamme, pour que celle-ci ne s'éteigne pas et continue d'illuminé notre vie. Le véritable amour donne-t-il cette impression d'un feu ardent qui ne s'éteindra jamais, qui continuera à bruler de désir pour celle qui devient notre moitié ? Ou alors, tous cela n'est qu'une belle théorie, qu'aucune l'humain n'est satisfait et tombé un jour ou l'autre dans l'abime interminable de la lassitude.
Une théorie que le courant philosophique réaliste a rapidement abandonné. En attendant l'Homme, garde espoir et cherche en vain ce but de la vie. Après tous... est-ce le but de notre vie ? Ou préférons nous avoir un boulot convenable ? La plus belle maison ? Le chien le plus fidèle ? Les belles idées impossible, nous les mettons à la poubelle, se dire que ça n'arrive qu'aux autres. Puis, un beau jour, une belle et jeune demoiselle osera rallumer d'une petite allumettes notre flamme. Nous ressortons alors les idées plus vielle que le monde, jusqu'à temps que la flamme disparaisse comme la jeune fille est venu, repartant ainsi dans la brume et laissant notre coeur dans l'ombre. Ceci interminablement, ou bout d'un certain temps, les plus courageux oseront encore pensé à ce rêve, et à ceux que la vie à dégouté... s'enfermeront dans une solitude épouvantable... avec une belle maison, une belle voiture, un beau boulot, et un chien qui attend, la balle en mousse entre les dents en rentrant de notre vie pépère. Là, je t'ai actuellement embrouillé, ce n'était pas forcément le but, tu t'es d'abord demandé pourquoi je théorisais autant dans mes rp... ensuite la curiosité t'a poussé à en venir à bout de mon raisonnement, tu es maintenant déçu d'avoir fini par un gout amère en bouche, sur une vie sombre et désagréable. A toi de voir à quelque côté tu fais partis.
Moi je préfère ne pas abandonné, et en admirant les jolies créatures qui m'entourent, me dire que peut-être avec l'une d'elle. J'aurai le droit à ses joies immense qui n'arrive qu'une fois dans notre vie. Ce qui est bien dans les rp c'est que l'on est dans à la fois, dans mon cas, auteur et narrateur. Je pourrai même presque dire personnage. Car hélas pour mon petit Yoru, il est fait à ma manière. Quand tu lis ces quelques mots, tu te dis... c'est bien beaux mais moi j'ai attendu une semaine pour avoir l'histoire alors si aujourd'hui tu me casses les pieds avec lignes s'accumulant interminablement... Alors je vais te rassurer et te dire que les mots que j'ai tenté d'exprimer clairement les uns à la suite des autres sont les pensées que mon chère Yoru a eu le temps, le bougre, d'imaginer en moins d'une minute trente. Laissant ainsi le temps à la fabuleuse femme qui tenait actuellement la main au jeune homme, de réfléchir, elle, à la couleur des yeux de Yoru. Ce dernier appréciait l'intonation qu'elle m'était pour prononcer son nom. Après avoir gouté les lèvres de la jeune fille qui lui laissait en bouche un gout sucré et lui permettait d'être rassasier pour un mois entier.
Après avoir imaginé combien il pouvait être heureux, il retourna de son rêve à la réalité qui était dix fois plus belle. Toujours sur le sable, il se mit sur le côté, pour être en face de sa Seiko. En la regardant, il avait de grands yeux, comme si il voyait un ange. Elle dessina, comme les enfants, un jolie coeur sur le sable. Les lettres manuscrites lui donnait envie de retourner à son enfance. Là, où comme ce soir, il avait toujours un sourire ancré sur ses lèvres. Un sourire qui ne s'effaçait jamais... qu'importe les circonstances. Les enfants sont si reconnaissants, à chaque seconde, ils remercient la vie, de leur avoir donné le souffle. Il passa sa main sur ses cheveux, caressant chaque miette de son visage. Elle lui montra sa guitare. Comment faisait-elle, lui il n'arrivait pas à la surprendre. Elle avait toujours une longueur d'avance. Elle pimentait chaque seconde avec des envies qui n'étais pas prévu au programme. Lui il avait l'impression de faire des gestes banalement romantique. Il adorait ça... il l'aimait. Pas de doute. Mais, mignonne comme tout, elle eut peur de gâcher le magnifique moment qui se déroulait. Après tous, des beaux moments comme celui-ci devait être rempli de baiser et de rire, de sourire, de joie. Pas d'un silence écraseur qui laissant les doutes sur l'avenir planer. Il ne répondit rien.
C'était peut-être méchant de sa part de laisser la jeune fille se torturer de tous les remords. Mais il était concentré sur sa voix. Voulais écouter chaque petits son sortant de ses cordes vocales.

-Je ne sait pas profiter d'un moment merveilleux... Sans vouloir tout mettre en règle, je veut te dire ce que je ressent pour toi... Yoru mais j'y arrive pas... J'ai envie de toucher les cordes de ta guitare pour pouvoir t'exprimer tout ce que tu es pour moi, la place que tu as pris dans mon coeur en si peut de temps... Mais maintenant je me rend compte que... Que... Je t'aime et que n'arrive pas a te le dire.

Il se leva, regarda alternativement son visage et la plage. Le restaurant paraissait presque invisible avec la brume de la nuit qui s'installait. Il se baissa, ne fit pas un baiser mais lécha ses lèvre. Il la prit dans ses bras. Et lui dit après un baisé rapide :

_Tu vois ? Ce n'était pas si difficile. Tu sais pour moi, ton seul sourire permet de me montrer l'affection que tu me portes. Cela me suffit, pour être rempli de joie. Attention, accroches toi ! Tu es prêtes ?

Après ces quelques mots, il couru à travers la plage, en tenant une belle jeune fille d'un poids plume dans ses bras. Ses mains effleurait sa peau douce. Il arriva près du restaurant. Alluma des néons qui diffusait une brève lumière.
Il lui donna sa guitare et se posta derrière le comptoir et lui dit d'une voix douce :

Chante moi une chanson, que ta voix me transporte au pays des rêves. Enfin y serai-je aussi heureux qu'ici ?

Puis il prit une voix normal, dont il espérait que le changement rapide d'intonation allait la faire sourire :

Tu veux boire quelque chose ?

[HRPG/Dsl je te fais attendre pour un post pourrit... je me ratrapperai au prochain/HRPG]

« Yoru », ce nom provoqué une chaleur douce dans le coeur de la jeune femme et une saveur sucré sur ses lèvres. Elle était retombé a l'époque ou elle vivait encore avec ses parents ou tout n'était qu'innocente et simplicité. Pourtant elle allait bientôt avoir 20 ans et non 7... Mais ce soir sur cette plage elle ne voulait pas penser a autre chose, plus maintenant, elle avait le plus merveilleux des hommes a proximité, elle ne pouvait que penser a lui. Sans penser a la suite des choses, se laissant bêtement porté par la mélodie émanant de son regard, de ses gestes et de sa voix. Plongeant ses yeux bleu océan dans ceux chocolat-noisette de son « Amoureux ». Qui n'aimerai pas retourné a l'époque ou il suffisait d'un mots pour s'amuser ensemble, pour rire et bien s'entendre, ou on écouter son coeur sans penser a la suite des événements, faculté que l'on perd avec l'âge. Voilà ce soir Seiko l'a retrouvé, après avoir fait une croix sur son passé et tracé un début... de futur ? Un sourire tendre un peu embarrassé par sa manière d'avoir envie de partir de cette plage, pour jouer un peu de musique.
Il lui carressa une longue mèche de cheveux qui retomber sur son visage, avant de toucher chaque centimètre de la petite bouille enfantine de « petite grande » fille. Puis ils approchèrent leurs deux visage, il lui offrit un baiser quelque peu spéciale enfin une première pour la jeune femme, oui, a ce moment la elle était une femme. Elle fut soulevée du sol, et atterrit au coeur de bras fort et puissant, ceux de SON homme. Il l'embrassa tendrement, elle eut un goût de joie sur les lèvres, avec une pointe... d'éternel ? Espérons le.

_Tu vois ? Ce n'était pas si difficile. Tu sais pour moi, ton seul sourire permet de me montrer l'affection que tu me portes. Cela me suffit, pour être rempli de joie. Attention, accroches toi ! Tu es prêtes ?

Elle lui offrit un sourire d'amusement et de tendresse, un sourire plein d'amour comme l'était son coeur a ce moment. Elle n'eut pas le temps de parler, que le jeune homme courant vers le restaurant, elle se cramponna a son cou. Ils arrivèrent, Yoru alluma des néons, et le restaurant pris une allure encore plus charmante qu'en plein jour. Elle saisit la guitare, et passa une main rapide dessus. Yoru était derrière le comptoir.

_Chante moi une chanson, que ta voix me transporte au pays des rêves. Enfin y serai-je aussi heureux qu'ici ?

Elle afficha un sourire rêveur, et un peu charmeur... Mais vraiment un peu...

_Tu veux boire quelque chose ?

Elle sourire, amusé par le changement d'intonnation de sa voix, elle posa délicatement la guitare contre le mur pour s'approcher de Yoru jusqu'à le toucher de ses doigts. Elle fini par tout en le fixant yeux dans les yeux, front contre front.

-Pour le moment juste un peu d'inspiration, après ce que tu veux.

Ils étaient séparés par le comptoir, mais elle réussit tout de même un baiser chaud qui commença juste lèvres contre lèvres et fini langue avec langue. Elle se décrocha petit a petit de ses lèvre en formulant quelques baiser tout simple.

-Voilà sa devrai m'aller pour une chanson.

Elle lâcha juste un sourire simple et alla ressaisir la guitare, elle fit signe au beau jeune homme de venir s'asseoir a côté d'elle. Elle commença a gratter les cordes de la guitare, un rythme doux et mélodieux, cela faisait longtemps quelle n'avait pas toucher une guitare, la jeune femme était plus habituer a son piano. Enfin maintenant que le rythme était crée, il fallait rajouter des paroles, la plus dur des taches. Elle croisa le regard de Yoru et les paroles lui vinrent. Elle commença a déployer ses cordes vocales et par conséquent sa voix, pleine de nuance et de douceur. Elle commença simplement en émettent des sons, qui finirent par s'enchainé toujours sur la guitare qui continuant une mélodies plutôt douce devînt de plus en plus rythmé.

« Tu te souviens quand nous avions 5 ans, et qu'un sourire faisait tout ?
Tu te souviens tu, quand j'avais 13 ans et que j'étais perdue ?
Je trouvais dans ton courage, une lueur d'espoir.
Jamais je n'avais put t'adresser autre que mon sourire, comme avant.
On m'a bouffé mon enfance, et même mon première amour.
Tu vois dans tes yeux je vois bien plus que les cieux.
J'aperçois un souvenir bien plus précieux.
Excuse moi de n'être qu'une enfant.
Excuse moi d'être trop sincère, de dire des choses incohérente...
Mais tu le sais tu me trouble...
Il a fallut bien trop de temps, pour vivre ça.
Tu as pris tout la place dans mon coeur.
Yoru, une chanson bien bateau.
Maintenant hier et demain je m'en fout.
Je ne veux que toi, Yoru, je dis des choses étrange et pas dans le bon sens mais voilà le plus important :

Je t'aime. »

Elle répéta plusieurs fois ses dernier mots et un dernier long qui se fini sans musique. Elle souffla, attendant une réponse, un geste, un soupçon de voix. Se mordillant la lèvre, en regardant son homme Yoru.

Nombre de messages : 84 Age : 30 Date d'inscription : 28/10/2008

Lorsque qu'il la tint dans ses bras, ce fut l'illumination, il se trouvait comme dans un conte de fée, là où les princesse sont sauvés par leur prince charmant, à l'allure romanesque dont les tirades seraient de nous jours d'un grotesque sans précédent. Pourtant, ils ont de l'allure ces princes là ! Ils croient au grand amour, ils ne faillent jamais à la tâche, toujours présent, à l'affut. Puis symboliquement, ils sont grand, je me dis que ces princes là devaient avoir beaucoup de mal à passer les portes du château, ils sont costaud à croire qu'ils soulèvent cent kilos dès leur naissances, mais non seulement ils sont fort mais aussi très intelligent. Enfin bref le stéréotype parfait du beau chevalier servant, ce ne serait que rajouter des exemples à dire que leurs cheveux blonds brillant comme l'or, d'ailleurs je me demande quel shampoing ils utilisent, reflètent la lumière du soleil. Alors depuis cette image là filles comme garçons, enfin plus les filles, s'en souviennent pendant toute la durée de leur vie. C'est un idéal jamais atteint, c'est le but de toute une vie. Nous sommes condamnés à être des princes et des princesses. Nous recherchons le Happy end. Même ceux qui n'y croient plus, ceux qui se disent adulte, sont hantés par les contes de fés.
Yoru lui ne se posait pas vraiment la question de moment magique et de la fin heureuse. Mais sur le moment, il se sentait bien, il voyait son sourire, ses yeux l'hypnotisaient. Impossible de s'y détacher. Le restaurant fit son apparition et mit fin à ce beau moment, il fit glisser sa main le long de son dos, la redressa, passa brièvement sa main dans ses cheveux et lui désigna la guitare et passa derrière le comptoir, elle refusa un verre mais lui offrit un magnifique baisé. Il ferma les yeux, il ne ressentait plus la douleur du torse écrasé contre le comptoir pour atteindre ses lèvres. D'ailleurs il adorait celle-ci, mais plus que tous il aimait langue avec langue faire une danse virevoltant, très sensuel. Puis elle s'éloigna peu à peu, laissant Yoru lever les yeux petits à petits pour ce réveiller de ce doux rêves. Elle le regarda, lui laissant le plaisir d'admirer ce qui croyait dur comme fer, il le sentait au fond de lui. C'était à présent SA femme.
Puis il dit quelques mots qui soufflé par le vent arrivèrent aux oreilles de Yoru et eurent l'effet d'une brise légère.

-Voilà sa devrai m'aller pour une chanson.

Il lui sourit, c'est tous ce qu'il pouvait lui offrir pour le moment, son coeur battait assez fort, cela faisait tellement longtemps qu'il n'avait pas eut une sensation comme celle là. Il baissa les yeux et rapidement pris les uns à la suite des autres les bouteilles en dessous du bars, le citron dans le frigo et en deux ou trois mouvements, un petit cocktail très légèrement alcoolisés fut préparés. Elle lui fit signe de s'approcher d'elle, mais il fit mieux, se permettant un petit luxe, se moment était si magique qu'il faisait que ce que son corps décidait. Yoru s'assied une chaise, pris la guitare et l'accorda d'oreille, puis il lui fit à son tour signe de s'approcher et il l'amena à s'assoir sur ses genoux. Elle prit la guitare, souriant légèrement quand les mains de Yoru vinrent entourer sa taille. Puis elle fredonna un petit peu, c'est à ce moment que Yoru eut une immense stupéfaction. Sa voix se déploya comme un phénix, beaux et majestueux. Elle s'envola aussi haut que les cieux, laissant Le jeune homme planer sous un coussin de mots doux et gentils qu'elle prononçait à sa faveur.
Les yeux fermer il posa sa tête sur le dos de SA Seiko, pour entendre les mots sortir au plus profond d'elle. Il restait ébahit. A la fin de la chanson, aucun mots lui sortait pour qualifier la belle prestation qu'elle lui offrait. Il balbutia, quelques mots qui démontrait de son étonnement, quand elle se retournât pour voir sa réaction :
Je... Euhh... Je... c'est... trop beau... je t'aime, je t'aime, je t'aime.

Il répéta ces quelques mots, puis il la serra dans ses bras. L'embrassa timidement sur la bouche. Le garçon se leva. Mit sa main, dans ses poches regarda le restaurant et dit, en espérant l'étonner :

J'ai faim ! Je vais nous préparer un bon petit repas au chandelle ? Mademoiselle, dédaignerez vous de m'accorder ce petit repas en tête ?

Il fit un grand sourire et ce mit à rire. Ce fut le rire de la faim de ce rp.

Mais qu'il était beau... Elle restait attacher par ses yeux... Admirant chaque morceaux de ses billes chocolat-noisette aux reflets doux et harmonieux. C'est fou comme elles brillaient, de petite étoiles petite mais bien voyante... Enfin peut être pas pour quelqu'un de « normal » mais pour les yeux expert de Seiko c'était flagrant. Il faut dire que les yeux de Yoru était comme la couverture d'un livre passionnant. Vraiment pasionnant, une porte menant au coeur, donnant envie de découvrir tout le reste... On pourrait décrire tout l'intérieur du livre par des endroits corporel, mais cela serai bien trop long. Donc passons ou plutôt Brefouille [xD].
Elle lâcha sa lèvre inférieur, et admira celles de son « Amoureux » s'ouvrir, écoutant la voix mélodieuse qui en sortit.

Je... Euhh... Je... c'est... trop beau... je t'aime, je t'aime, je t'aime.

« Je t'aime », le plus beau mot de tout les langues... Celui qu'on aime entendre que ce soit réciproque ou non. Mais Lorsqu'on aime, c'est juste quelque chose de merveilleux c'est fou d'ailleurs c'est l'un des seule mots que l'on peu entendre des miliers de fois sans se lasser. Étrange, nan ?
Bref, elle aurait voulut répliqué, dire que non ce n'était pas beau, que c'était très bateau, que la musique était mal joué que les notes n'était pas assez fluide que sa voix était trop ceci trop cela, en gros dire qu'elle n'était pas douée, et recevoir des compliment. Mais on vint lui occupé les lèvres avant qu'elle ne puisse les ouvrirent pour se dénigré, a croire qu'il lissait dans ses pensée et par conséquent tombait toujours au bon moment, avec ses lèvres. Des lèvres sucrées qui vinrent occupé celle de la jeune femme, un baiser de petit garçon, pourtant Yoru avait tout d'un grand, la preuve par sa taille. C'est vrai il était grand, intelligent, beau, fort et douée que demande le peuple ? En plus Seiko en était amoureuse, lui aussi... Sa fait vraiment cliché la ! M'enfin, qui ne rêve pas d'une telle histoire ? Bref, laissons les en plein rêve, la réalité est sufisament dur, autant attendre un peu avant d'y retourner. Mais si le rêve est réalité ? Alors c'est juste géniale... La voilà maintenant encore une fois lèvres contre lèvres avec Yoru, moment de tendresse absolu.
Si elle avait put elle aurait pris un fer a souder et aurait lié leurs lèvres a jamais... mais elle l'aimait trop et sa devrai faire mal ce genre de pratique... Nan ? Alors elle sourit juste a cette pensé, celle de leur deux visages collés l'un avec l'autre et plus elle y réfléchissait plus elle se disait que ce n'était vraiment pas idéale... comment manger, boire ? On mourrait trop vite et a quoi bon s'aimaient si on meurt ? Raisonnement débile, montrant réellement que Yoru la troublait parce que sinon elle n'aurait jamais osé penser a un truc aussi c** c'est grave !
Elle remarqua après une certaines fraction de seconde que Yoru avait détaché ses lèvres des siennes, alors elle rouvrit ses yeux bleu et revu l'homme magnifique qu'elle voyait depuis le début de cette soirée de conte de fée.

J'ai faim ! Je vais nous préparer un bon petit repas au chandelle ? Mademoiselle, dédaignerez vous de m'accorder ce petit repas en tête ?

Yoru se mit a rire, Seiko l'accompagnât , pourquoi ? Bonne question... Il avait un si jolie rire communicatif... Elle ne pouvait pas s'empêcher de rire en coeur avec lui.

-Évidement, hein, moi aussi j'ai faim. Et pis comment refusé quoi que ce soit a un si bel homme ?

Elle sourit, lui tira la langue, et rapidement elle déposa ses mains dans les poches arrières du jeune homme, elle s'approcha de ses lèvres et dévia sur son oreille lui murmurant tranquillement.

-Hum... Je vais chercher mes affaires sur la plage, je te laisse au fourneaux, je t'aime. Je reviens tout de suite... pour t'embêter.

La jeune femme quitta l'oreille du jeune homme par un baiser dans le cou, et enfin revînt sur ses lèvres les collant l'une a l'autre, encore c'est fou comme on ne se lasse pas de ce genre de chose... Elle resséra ses mains, apuyant légérement sur les fesses de Yoru. Sa langue suivit... Valsant doucement avec l'autre langue, les yeux clos. Elle sortit une main d'une poche, pour le tenir contre elle, un baiser en tout innocence, bien que plutôt sensuelle mais surtout plein d'amour. Elle se décolla un peu de lui, en changeant sa main d'emplacement, puis en décolla les lèvres. Puis elle déclara doucement, d'une voix assez coquine.

-J'ai pas pu m'en empêcher.

Elle sourit, fit un signe de « v » avec ses deux doigts et partit sur la plage, car mine de rien la demoiselle était toujours en maillot de bain... certes entourée d'une serviette mais en bikini quand même. La demoiselle avança dehors jusqu'a sentir le sable encore chaud sous ses pieds, là elle marqua une pose. Elle écouta le bruit des vague, tout en regardant la mer qui brillait de mille feux sous les étoiles et leur reine, la lune, celle qui éclaire le monde. Son regard se posa plus principalement sur une étoile très brillante a ses yeux, celle dans laquelle Seiko voyait le visage de Sheik, elle lui sourit et même lui tira la langue. Elle venait de tourner la page, maintenant son coeur était a Yoru et a personne d'autre. Alors elle se mit a courrir sur la plage jusqu'a son sac, la ou elle mit ses affaires, ses vêtements, ses clopes... Puis elle regarda les lumières du restaurant elles vallaient tout les étoiles du monde et Yoru vallait l'argement Sheik. Alors elle se dépêcha, courra vers le restaurant. La jeune femme y arriva bien vite, le sac sous un bras les escarpins dans l'autre. Elle poussa la grande porte, et entra. Réfléchit quelque seconde, il fallait qu'elle se fasse belle, très belle pour son amoureux. Elle se devait d'être magnifique pour lui, même si elle n'arriverai jamais a la hauteur du bel homme. Elle chercha alors les toillettes, heureusement pour elle et son sens de l'orientation médiocre il y avait un système d'afichages. Elle trouva très rapidement grâce aux panneaux "WC" partout dans le restaurant. Elle poussa la porte des WC et entra dans la petite pièce, elle était seule dans les toillettes alors elle ne se gêna pas, tout d'abord elle fixa son reflet dans le miroir celui montra une belle jeune femme celle dont elle voyait tout les défaut. Elle enfila sa robe et ses escarpins, releva sa chevelure a coup de pinces et de brosse puis chercha sa trousse de maquillage, la petite chose a fermeture éclair en cuir rouge garnis de tout le matériel nécéssaire a la beauté féminine, enfin celle que voyait Seiko. Elle se maquilla finement, discrettement et parfaitement comme toujours en accord avec sa belle robe noir bustier d'ou dépassé son maillot de bain noir, montra tout en les cachant ses formes féminine et généreuse. Une robe acessoirisé d'une ceinture rouge, bref elle était très belle, très élégante et chic. Elle rangea tout en vrac dans son sac a main. Elle mit faute d'affichage pas mal de temps a retrouver la salle, une fois trouver elle entra, et aperçut une magnifique table, avec deux chandelles dessus, là un bel homme l'attendait.

» Chaque nuit est un enfer, mais il le faut... [Yoru] FINI !!